La Cédéao fixe un ultimatum

La Communauté économique des États de l'Afrique de l'Ouest (Cédéao) a donné une semaine aux putschistes pour rétablir l'ordre constitutionnel au Niger et libérer le président Bazoum. Si ces demandes ne sont pas satisfaites, la Cédéao n'exclut pas de recourir à la force. En soutien à cette décision, l'Union européenne a également tenu les putschistes "responsables" de toute attaque contre des civils, des diplomates ou des installations diplomatiques. La France a condamné la manifestation devant son ambassade à Niamey et a menacé de répliquer "de manière immédiate et intraitable" à toute attaque contre ses ressortissants. Les États-Unis ont exprimé leur soutien au président Bazoum et ont souligné que le coup d'État mettait en péril le partenariat entre les deux pays.

Inquiétude de la communauté internationale

La situation au Niger préoccupe également la communauté internationale. L'Union européenne a tenu les putschistes responsables de toute attaque contre des civils, des diplomates ou des installations diplomatiques. Elle soutiendra les décisions prises par la Cédéao et n'exclut pas une intervention militaire si nécessaire. Les États-Unis ont exprimé leur soutien indéfectible au président Bazoum et ont appelé à sa libération immédiate. La France, quant à elle, a suspendu son aide au développement en réponse au coup d'État. La crise au Niger souligne les tensions croissantes dans la région du Sahel. La Cédéao et l'Union européenne ont clairement indiqué qu'elles n'accepteraient pas le renversement des gouvernements élus par la force et ont pris des mesures fermes pour faire pression sur les putschistes.

Tensions persistantes et surveillance internationale

La situation reste tendue au Niger, avec des manifestations de soutien au coup d'État devant l'ambassade de France à Niamey. Les autorités françaises ont condamné ces manifestations et ont averti qu'elles répliqueraient de manière ferme à toute attaque contre la France et ses intérêts. La Cédéao et l'Union européenne continuent de tenir les putschistes responsables de toute attaque contre des civils, des diplomates ou des installations diplomatiques. Elles ont pris des mesures fermes, y compris un blocus économique, pour faire pression sur les nouvelles autorités et ont averti qu'elles pourraient recourir à la force si nécessaire. La communauté internationale surveille de près l'évolution de la crise au Niger.